Témoignage spontané d’un lecteur du blogue. Merci à Christian Duchemin, habitant dans Villeray pour ce texte témoignage dans sa lutte contre les souris Des souris dans le meuble sous évier de ma cuisine Non, mon meuble sous évier n’est ni sale ni mal rangé, il ne contient que des choses normales et habituelles à cet endroit. Produits d’entretien, réserve de lessive, guenilles et autres éponges à droite et grosses bouteilles d’huile et vinaigres ainsi que — erreur fatale — un sac de riz de 5 kg emballé dans une toile de jute solide et un sac plastique intérieur, fermé avec un zip à gauche. Voilà que lundi dernier je décide de bouger ces choses, histoire de remettre un peu d’ordre, ce faisant je repère des crottes de souris autour du sac de riz. Pour avoir beaucoup lu sur ce rongeur dans votre blogue, et aussi sur celui de votre collègue en extermination de souris je n’ai aucun doute sur le fait que ce sont bien des excréments de souris et je prends sans paniquer le problème en charge. Non sans avoir alerté mes voisins de condo d’un courriel explicite.
Je vois immédiatement l’issu qu’on empruntés ces nuisibles. Le tuyau d’évacuation des eaux usées est le seul espace qui laisse un accès vers l’intérieur du meuble de cuisine. Les souris arrivent donc du soubassement, elles grimpent le long des tuyaux de la colonne sanitaire et explore sans doute les condos du triplex dont je suis copropriétaire. Je me souviens avoir pourtant travaillé fort sur l’isolation phonique et thermique en projetant de la mousse expansible. Afin de boucher le moindre espace contre les d’infiltration d’air potentielles. Mais la mousse expansive doit n’être qu’une sorte de dessert pour ces grignoteurs impénitents…
Combien de souris s’alimentent ici ?
N’ayant jamais entendu le moindre bruit, grattement, couinement, je ne doute pas du fait que mes mangeuses de céréales s’invitent la nuit. Je vais bientôt en être sûr.
Au lever pendant que la cafetière distille mon nectar préféré, je vérifie la « scène de crime » en entrouvrant la porte du placard. La souris est là prise, coincée au niveau du cou, raide comme un piquet et bigrement décédée. Je nettoie tout cela un peu plus tard après mon petit déjeuner et réinstalle le scénario pour la nuit suivante, si cette souris a de la famille, elles vont se rejoindre au paradis des rongeurs… Le lendemain matin, ruinant mon espoir d’avoir affaire à une solitaire, une égarée… Je constate que le regroupement familial! Dans ma poubelle à souris morte je commence à accumuler.
Je continue l’expérience le 3e et 4e jour et attrape 3 souris de plus, une imprudente ayant emprunté le chemin inhabituel sur lequel j’avais posé la seconde trappe. Je décide le 4e jours conjointement avec mes compères de condo d’appeler R.Lessard exterminateur. Le jour même, son équipe se présente et effectue dans le soubassement, un rebouchage du trou qui donne accès aux tuyaux qui montent dans les étages. Il confirme des traces de rongeurs dans cette partie sous le bâtiment, mais, rassurant il ne parle que de souris et non de rats.
règle définitivement le problème à mon étage la même journée tandis que le soubassement est libéré de l’occupant au cours des jours qui suivent. Bien que j’aie laissé le dispositif de piégeage au milieu des produits ménagers, plus aucune souris n’est venue se faire briser le cou ou pincer le museau. Moralité : tuer 5 souris c’est facile, les sortir toutes de l’immeuble, ça prend un professionnel de l’extermination. Le tout bien réel et véritable. Lire aussi Notre page témoignage extermination
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